Chez bébé

Il peut arriver pour diverses raisons que des réflexes archaïques n’émergent pas ou bien qu’ils ne s’intègrent pas ou pas complètement.

Un mouvement réflexe persistant au-delà de l’âge de 2 ou 3 ans est dit « non intégré ».

Il va alors surcharger le système nerveux et en réduire la disponibilité, créer un stress corporel tel que tout le potentiel de développement et d’apprentissage sera compromis.

Dans l’exemple du réflexe d’agrippement palmaire :
Si ce réflexe reste actif, il va peut-être s’en suivre pour l’enfant une pression excessive sur son stylo, des difficultés dans les activités manuelles, du mal à lâcher prise, y compris au sens psychologique…

Plus tard chez l’enfant ou chez l’adulte

Des traumatismes physiques ou émotionnels ou des maladies (accident, trauma crânien, Parkinson, AVC, excès de sucre, allergies alimentaires notamment au gluten, deuil, burn out…) peuvent réactiver des réflexes primitifs qui s’étaient auparavant intégrés, ce qui va venir perturber différents domaines de notre vie.